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Articles

caillou,ou,ou pour Khanel/2

un galet-coeur tout poli qu'on m'a offert,voyez d'où il vient et comme il aura fallu un regard acéré et de l'entêtement pour le trouver parmi ses frères plus quelconques, cadeau tout droit venu du Sillon de Talbert , côtes d'Armor, de "ma " Bretagne que j'aime!La mer est romantique, elle caresse les roches et en fait des bijoux d'amour tout doux,tout lisses,que les ami.e.s*récupèrent comme offrande...   Pleubian et le sillon   By Original uploader (WT-fr) OT Pleumeur Bodou at French Wikivoyage (This file was imported from Wikivoyage fr.) [Public domain], via Wikimedia Commons Pour en savoir plus sur cette réserve géologique ,vé-gétale et ornithologique,et un des plus grands cordons  de galets littoraux d'Europe:   http://www.reserves-naturelles.org/sillon-de-talbert * (je tâte l'écriture inclusive, le grand n'importe quoi de ces dernières années) un des plus grands cordons de galets littoraux d’Europe un des plus

Thème du vent pour la poésie du mardi chez Lydie

Ce mardi , le thème choisi est "le vent" chez Lydie...un poème appris en classe il y a ...un certain temps, les deux premières strophes , je ne savais pas que la poésie ne s'arrêtait pas à çà,je viens de le découvrir en entier.... Le vent            Emile Verhaeren   Sur le bruyère longue infiniment, Voici le vent cornant Novembre; Sur le bruyère infiniment, Voici le vent qui se déchire et de démembre, En souffles lourds, Battants les bourgs, Voici le vent, Le vent sauvage de Novembre. Au puits des fermes, Les seaux de fer et les poulies Grincent; Aux citernes des fermes, Les seaux et les poulies Grincent et crient.   Le vent rafle le long de l'eau, Les feuilles mortes des bouleaux, Le vent sauvages de Novembre; Le vent mord, dans les branches, Les nids d'oiseaux ! Le vent râpe du fer Et peigne au loin les avalanches Rageusement, du vieil hiver, Rageusement, le vent, Le vent sauvage de Novembre.  

L'escamoteur pour le tableau du samedi de Lydie

J'avais emprunté un livre qui n'a rien à voir avec l'art...sauf que pour illustrer son sujet et le présenter,à chaque nouveau chapitre, l'auteur fait le choix d'un tableau et extrapole ensuite vers ce qu'il veut démontrer...Par c e tableau il parlera de conscience et attention... Du coup, avant que je ne le rende, je me suis servie des illustrations que j'ai préférées pour ce tableau du samedi et trois autres à venir^^ Ce jour donc:  "L'escamoteur" de Jérôme Bosch,peint entre 1496 et 1520,huile sur panneaux de bois, 53X65 cm Il a été peint en plusieurs exemplaires à des dates différentes : il en existe 5 versions connues. J'aime c e tableau plein de vie,  et d'humour... Le "passeur d e muscade", l'escamoteur n°1, quoi, qui est forcément un peu filou, sinon il ne gagnerait pas sa vie, l'autre escamoteur, qui profite de l'attention portée sur la scène pour "escamoter" la bourse du bourgeois (

hibou chou caillou genou pour Khanel -1/

Khanel , son défi ce mois ci c'est...hibou, chou, caillou, genou, mais qu'est c e que tu nous veux, dis moi?😁😊😹 Pour commencer, j'ai retrouvé çà...çà date de 1966...chanté par Dani... et pour finir,et bien, c'est encore pire, si j'ose le dire!!!! je trouve que pour avoir traversé des périodes où on écoutait ce genre de choses régulièrement, je m'en suis sortie sans trop de dommages cérébraux!!!! (au passage c'est de la vraie doc pour ceux qui étudient l'histoire du vêtement, ces trucs là!!!!) allez, la prochaine fois, promis, çà sera plusse mieux ,ou en tout cas moinse  pire!

Bourvil pour Khanel/3

On peut vivre sans richesse  Presque sans le sou  Des seigneurs et des princesses  Y'en a plus beaucoup  Mais vivre sans tendresse  On ne le pourrait pas  Non, non, non, non  On ne le pourrait pas  On peut vivre sans la gloire  Qui ne prouve rien   Etre inconnu dans l'histoire  Et s'en trouver bien   Mais vivre sans tendresse  Il n'en est pas question  Non, non, non, non  Il n'en est pas question   Quelle douce faiblesse  Quel joli sentiment  Ce besoin de tendresse  Qui nous vient en naissant   Vraiment, vraiment, vraiment   Le travail est nécessaire  Mais s'il faut rester   Des semaines sans rien faire   Eh bien... on s'y fait   Mais vivre sans tendresse  Le temps vous paraît long Long, long, long, long  Le temps vous parait long   Dans le feu de la jeunesse  Naissent les plaisirs   Et l'amour fait des prouesses  Pour nous éblouir  Oui mais sans la tendresse   L&#

Lion enfermé, pour le poème du mardi de Lydie-2

Le mardi , on peut chez Lydie  présenter soit un poème suivant un thème choisi, soit un poème choisi librement. J'ai promis d e faire paraitre sur mon blog ce mardi un poème qu' A.,un des enfants que je suis en aide aux devoirs,a sélectionné lui même.(Le principe dans sa classe de CM2 étant que chacun choisit un poème parmi une pré sélection effectuée par la maitresse, l'apprend et l'interprète devant la classe) J'ai aimé la profondeur de ce poème et le fait qu'il ait pu toucher un enfant de 10 ans... Donc 2° participation, ce mardi,chose promise à A.,chose due Lion enfermé Dans un coin de la cage il a dormi puis il s'est réveillé inquiet et lentement s'est levé le regard triste,méfiant il s e met à longer  le grillage Né dans une cage il n'a jamais goûté l'étendue d e la brousse, Vient il d'y songer? Brusquement secouant s a crinière il gronde,il rugit et frappe avec ses pattes à travers les barreaux! Comment lui dire

le vieux Corneille pour le mardi de la poésie de Lydie (1)

Pour le thème de ce mardi-poésie, la vieillesse.... J'ai trouvé celui ci "un peu mesquin", comme dirait mon gendre...un peu mufle.... Mais ô joie!!!!je me suis régalée en lisant les commentaires...¨Je crois que c'est pour eux que j'ai sélectionné ce poème, en fait! Ode à Marquise Pierre Corneille Marquise, si mon visage A quelques traits un peu vieux, Souvenez-vous qu’à mon âge Vous ne vaudrez guère mieux. Le temps aux plus belles choses Se plaît à faire un affront, Et saura faner vos roses Comme il a ridé mon front. Le même cours des planètes Règle nos jours et nos nuits On m’a vu ce que vous êtes; Vous serez ce que je suis. Cependant j’ai quelques charmes Qui sont assez éclatants Pour n’avoir pas trop d’alarmes De ces ravages du temps. Vous en avez qu’on adore; Mais ceux que vous méprisez Pourraient bien durer encore Quand ceux-là seront usés. Ils pourront sauver la gloire Des yeux qui me semblent doux, Et dans mille